Lorsque le bon sens est impératif

Lorsque tout s’agite autour de nous, avec plus ou moins de virulence et de rationalité, inutile de chercher à s’accrocher coûte que coûte à des béquilles extérieures, elles aussi malmenées. Elles peuvent elles aussi faillir ou se désagréger.

Non, je propose plutôt d’apprendre de la nature et de s’en inspirer. Cela aide à nous rappeler à notre nature profonde, et à nos modes de fonctionnement élémentaires.

En cette période tumultueuse pour la plupart d’entre nous et pour notre civilisation occidentalisée, voici quelques principes ancestraux à s’appliquer :

  • S’alléger en nous libérant de ce qui ne nous appartient pas : évacuer les objets autant que les pensées et les émotions.
  • Remettre de l’ordre en soi
  • Simplifier son quotidien, encore et encore.

Pour remettre de l’ordre en soi, 4 questions simples :

  • Qu’est-ce qui me nourrit ? (ce qui me fait du bien)
  • Qu’est-ce qui m’épuise ? (ce qui me pompe)
  • Qu’est-ce que j’alimente ? (par mes actes, mes discours, mes pensées et mes émotions)
  • Qu’est-ce que je ne veux plus alimenter ? (parce que cela m’épuise ou nourrit ce qui est toxique pour moi)

D’autres clés de compréhension, d’auto-apprentissage et d’autorégulation dans le guide pratique « Tel un roseau : souple et ancré dans un monde qui chahute » et dans la webconférence « Décoder les changements ».

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